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The Warlocks: rencontre avec le groupe californien pour ses 20 ans!

The Warlocks: rencontre avec le groupe californien pour ses 20 ans!

The Warlocks, l’un des groupes californiens mythiques, a fêté ses 20 ans l’an dernier et fêtera les 20 ans de son 1er E.P éponyme dans quelques mois. Tel un bon whisky, le groupe n’a rien perdu de ses atouts et continue de séduire, au delà de son cercle de fans fidèles, grâce à une énergie qui ne se dément pas . Leur passage au festival Levitation, fin Septembre, a été pour weirdsound une nouvelle occasion de vérifier la forme de ses membres emmenés par le frontman de toujours, Bobby Hecksher. Je ne les avais pas vus depuis leur passage à l’Olympic de Nantes en Novembre 2003, n’ayant pu les revoir au Pannonica en Juillet 2017. Quasiment 2 heures après leur très bon set, Ehyobro et moi même retrouvions le groupe pour une interview animée. Retour sur cet entretien fleuve où je commence d’ailleurs par évoquer mon premier souvenir Live du groupe…en 2003!

Souvenirs de Nantes et retour sur les débuts de The Warlocks

Weirdsound : Je vous ai vus en concert il y a maintenant 16 ans, c’était à Nantes. ( rappel Novembre 2003, ndlr)

TW Bobby Hecksher : Holy sh… !

W : Vous tourniez avec le groupe The Coral.

TW Bobby Hecksher : Sleepy Jackson (groupe australien, ndlr) étaient sur ce tour également !

W : Oui ! C’était un chouette concert, vous étiez alors sur l’album Phoenix.

Le titre phare de l’album Phoenix de 2002

TW Bobby Hecksher : En effet, on avait pas encore composé l’album Surgery. J’ai été un sacré garnement sur ce tour, complètement barge et en dehors du sens commun ! Bon ok, on continue les questions…

W : Les Warlorcks se sont formés en 1998…

TW Bobby Hecksher : Le 4 juillet 1998 a été le jour de la formation physique du groupe.  Jusque-là, nous pratiquions, et faisions des petits concerts, mais ce n’était pas grand-chose, et c’était arrogant. Ça n’allait nulle part…

W : Pourquoi avoir choisi le nom The Warlocks ? Était-ce plutôt une référence au groupe de Lou Reed ou de Jerry Garcia?

TW Bobby Hecksher : Ok. Étonnamment, c’est la question qui m’est le plus fréquemment posée. J’y ai répondu tellement de fois… Au moins 100! (Nous pouvions aussi nous en douter..désolés!)

W : Je n’ai pas trouvé la réponse…

TW Bobby Hecksher : C’est ok… Bon, à l’époque nous n’avions pas Internet comme nous l’avons maintenant. Je n’ai pas « googlisé » le truc comme je l’aurais fait aujourd’hui. J’avais juste entendu dire, que le Velvet Underground avait jeté le nom The Warlocks. C’est là toute l’info que j’avais à l’époque. Je ne savais pas que The Grateful Dead s’étaient aussi appelés The Warlocks. En outre, après 3 années d’existence de notre groupe, quand j’ai réalisé la chose, j’ai pris beaucoup de temps, environ 3-4 ans, pour réfléchir à comment changer de nom. Finalement, ni le Velvet, ni The Grateful Dead n’avaient déposé le nom The Warlocks. Je me demande même s’ils n’ont pas eu le nom Warlocks en même temps. Quoiqu’il en soit, ils ne l’ont eu chacun pas plus de six mois. N’hésite pas à faire des recherches pour voir si ça correspond… (Après grosse recherche de votre serviteur, Jerry Garcia et Bob Weir avaient choisi le nom de The Warlocks dès fin 1964, alors que Lou Reed et John Cale avaient alors un groupe, The Primitives, avec lequel ils ont sorti un single, The Ostrich, en Décembre…Si Lou Reed et John Cale se sont appelés The Warlocks pendant 2/3 mois au 1er semestre 1965, le groupe de Jerry Garcia a gardé ce nom jusqu’en Novembre 1965!!)

W : A Nantes en 2003, vous jouiez votre deuxième album Phoenix, qui vous a fait connaitre du grand public avec le premier titre « Shake the dope out ». Quel est votre sentiment sur cette période ? La drogue influençait-elle la composition de votre musique alors ? (The Dope feels good était un autre titre de l’album Phoenix!)

Au festival Levitation à Angers en Sept 2019

TW Bobby Hecksher : A cette époque non, ça n’était qu’une petite inspiration de départ. Je n’en utilisais pas tout le temps. Ce qui m’inspirait c’était plus l’éclate, les fêtes, danser, les gens… C’étaient des chansons plutôt gaies. Quant à mon ressenti sur cette période, quand tout arrive en même temps en fait… Nous ne pensions jamais aller si loin ! Toutefois en 2003, nous avions plusieurs contrats de disques alors que nous n’étions un groupe que depuis quelques années. Nous travaillions avec Bomp!(Bomp records avait été créé à L.A en 1974 par Greg Shaw, éditeur de fanzinesC’est Bomp qui édite leur 1er E.P éponyme en 2000 puis leur 1er album en 2001ndlr) et des Labels underground. Puis soudainement, nous avions un management d’une major, des gens se mettaient à lâcher tellement de pognon pour le groupe, les contrats pleuvaient de partout ! Nous sommes allés chez Mute car nous aimons tous ce label et qu’ils s’occupaient de clients comme Depeche Mode. Donc tout cela a été beaucoup de pression pour une personne et j’ai pas mal craqué. Ça a été très compliqué de gérer tant de choses en si peu de temps.

Une vie souvent mouvementée!

The Warlocks Levitation Angers 2019 photo benoit  pour weirdsound
The Warlocks Levitation Angers 2019 photo benoit pour weirdsound

TW John Christian Rees (guitare): Nous n’avions jusqu’alors pas l’impression de vivre au Etats-Unis mais dans un p… de van. On ne faisait que tourner, conduire, par les pires temps ! L’une des premières tournées que nous avons faîtes, ça a été l’itinéraire complet en van de Los Angeles à New York ! C’était juste après le 11 septembre 2001. On conduisait tout le temps, nous étions toujours sur la route.

TW Bobby Hecksher : On bouffait parfois dans les poubelles !

TW John Christian: On n’avait même pas de quoi se payer de la confiture!

TW Bobby Hecksher : On a joué pour 50 dollars la soirée ! Je disais oui à absolument tout ! Donc vraiment, on a bossé dur, comme des dingues pendant cette première période…

TW John Christian : Et la drogue ne nous affectait pas du tout. (Blanc) A cette époque. (Cette dernière intervention, après avoir évoqué les difficiles souvenirs des débuts du groupe faire rire tout le groupe)

W : J’ai lu un jour que tu avais fait des fêtes avec Timothy Leary… C’est vrai?

TW Bobby Hecksher : C’est étonnamment vrai ! A Los Angeles… J’étais ado et j’avais un pote, Howard Hallis, (artiste et peintre, ndlr) biographe de Timothy Leary. Il était tout le temps rendu chez lui. Howard était donc l’un de nos meilleurs amis. Timothy Leary était lui du genre à décrocher son téléphone et laissait un message : « Hey Bob, on est avec Howard, on organise une fête ! Vous n’avez qu’à venir jouer ! » Et boum, voilà comment il était, très fort pour agir à brûle-pourpoint. Même quand il a su qu’il ne lui restait que quelques années… Je ne savais pas que Howard connaissait Timothy initialement…. Howard qui a fait la put… de peinture « Picture of everything« . Donc oui, j’ai joué dans le placard de Timothy Leary en costume d’ours. Un jour, il a voulu que nous portions un déguisement d’ours, alors nous sommes sortis du placard déguisés en ours. J’étais au clavier, et j’ai rencontré Alanis Morissette ce soir-là, juste une minute. Si je me souviens bien, il habitait dans la fameuse rue où Charles Manson a frappé…

Le très addictif rock psyché Come save us de l’album Surgery

W : En 2005 vous sortez votre troisième album Surgery. Diriez-vous que c’est votre album le plus rock psyché?

TW Bobby Hecksher : Ah… On a eu pas mal de galères sur celui-là ! On est allé du psyché au do-wop, et sur des trucs bien costauds. J’adore cet album. J’ai adoré que Tom Rothrock nous complique la tâche sur cette affaire. Il nous a fait bloquer le studio pour répéter, il arrivait comme un dur-à-cuire et nous balançait : « Non les gars, vous n’y êtes pas du tout ! » Il revenait quelques jours plus tard, et nous on était sûr d’être bons : « On est prêt, on est prêt ! » Et lui de nous répondre : »Pas encore les gars, vous n’y êtes pas ! » Il a été dur, il visait tout le monde, mais ça a payé !

W : Après 2005, il y a eu beaucoup de changements dans le groupe… Quant au label Mute, vous le quittez ou il vous chasse ?

TW Bobby Hecksher : Ce qui s’est passé, c’est que tout allait vers le streaming. Surgery s’est retrouvé partagé 45 000 fois sur LimeWire. Nous nous sommes fait voler, parce que l’on s’est retrouvé sur LimeWire. Tout changeait très très vite à l’époque, et ils (les labels) ne savaient pas comment s’y prendre et gérer la chose. Le streaming commençait à l’époque, et nous en avons été en quelque sorte les premières victimes. Nous étions reconnaissants en même temps puisque ça a contribué à nous faire connaître. Mais les labels conservaient encore l’ancien modèle de vente d’unités réelles et ils n’étaient pas prêts à accepter ces diffusions sur un laps de temps si court. Surgery a été lancé sur LimeWire, puis sur Spotify, et puis sur Pandora qui est arrivé. J’ai reçu une lettre du président de Pandora, qui disait : «Hé, je voulais juste te le faire savoir, Bobby, ton album se porte bien, nous avons eu 40,50,60 mille téléchargements!» Je l’ai toujours ce courrier. Je lui avais répondu en retour, « Où est notre argent ? » Vous savez, il m’a très bien éclairé sur le streaming et son fonctionnement.

La galère… au moment de l’album Heavy Deavy Skull Lover

W : Beaucoup considèrent l’album Heavy Deavy Skull Lover comme votre meilleur album. Est-ce votre sentiment ou comment l’expliquez-vous ?

TW Bobby Hecksher : Nous avions pas mal de soucis à l’époque… Corey a quitté l’aventure, JC (John Christian) a pris du temps pour se ressaisir.

TW John Christian : Rien de bon n’est arrivé à cette époque… J’ai été appelé pour l’enregistrement, mais je ne pouvais tout simplement pas, j’en étais incapable…

So Paranoid, un de mes titres préférés de l’album Heavy Deavy Skull Lover

TW Bobby Hecksher : Donc, mes guitaristes de base sont partis pour différentes raisons. JC avait des démons intérieurs et Corey venait tout juste d’aller en cure de désintoxication. Ce sont mes meilleurs amis et je ne voyais pas comment naviguer dans cette affaire. Je venais juste de signer un contrat avec Tee Pee. En gros, je suis arrivé avec cette idée d’album, j’ai assuré la partie guitare. Puis il y avait Jason, Bob (les deux batteurs, ndlr) et Jenny Fraser (à la basse, ndlr). Nous avons tout enregistré en un seul week-end, oui, un seul week-end ! Je me souviens avoir bossé toutes ces chansons. On a essayé en répétition mais ça a dérouté tout le monde. On avait une impression de : »qu’est-ce que c’est que ce truc ? ». J’ai craqué à la fin de la tournée, je suis parti et j’ai déménagé à Portland pendant 9 ans, avec la sensation d’avoir tout perdu. Pourtant j’adore cet album, c’est probablement l’un de mes disques préférés car il est un peu le contraire de ce que nous sommes. Il y a un minimum de chant, c’est joli, et cela en fait un ensemble puissant et joli à la fois.

Mean Machine Music…un échec expérimental

W : 2019, nouvel album Mean Machine Music en deux parties. 5 titres, puis la reprise instrumentale des 5 titres. Pourquoi ce choix ?

TW Bobby Hecksher : C’est un échec expérimental. Nous essayions de faire un son qui aurait été la rencontre de Stereolab avec Hawkwind. Mais nous n’y arrivions pas du tout. Ça ne fonctionnait tout simplement pas. Nous avions de surcroît des problèmes avec l’un de nos batteurs, sachant qu’un élément peut avoir tellement d’impact sur l’ensemble du disque. George, nous l’adorons et sommes très bons amis, mais il n’avait tout simplement pas envie d’être là. Cela a rendu la session très pénible et laborieuse, et nous avons pu finir uniquement 5 titres.

TW Earl V Miller (guitariste): Nous avons commencé l’enregistrement de ce disque juste quelques semaines après avoir signé chez Cleopatra, on était donc assez excité et enthousiaste. Ça sonnait bien dans le studio, on avait l’impression que tout allait aller comme on le voulait. Puis on a fait un break pour partir en tournée sur la côte ouest. Après notre premier concert, à San Francisco, le lendemain notre van avait été fracturé et nous nous étions fait voler quasi tout notre matos, nos fringues, tout s’était envolé. Ça a eu un effet sur tout le monde…

TW Bobby Hecksher : Oui, c’était dur de convaincre chacun de finir l’enregistrement après ce coup dur. Nous l’avons donc laissé foutu comme il était et décidé d’en faire un genre d’édition limitée. Il est aujourd’hui sold out, il n’y en a plus un seul.

W : Dans cet album, « Tribute to Hawkwind » est un hommage appuyé à Hawkwind?

TW Bobby Hecksher : Oui, nous en sommes tous fans

TW John Christian :  Nick Turner a joué dans le bar que j’ai à Los Angeles !

Suit alors un échange sur Hawkwind, où je ne peux m’empêcher de rappeler mes souvenirs de vieux guerrier, du temps de Lemmy K. et du Space Ritual !

The Warlocks ne jouèrent d’ailleurs aucun titre, ce soir, de ce nouvel album, fait sans doute rarissime pour un groupe!

Bobby Hecksher…en vrai frontman qui sait féliciter ses musiciens

Bobby Hecksher Levitation 2019 photo benoit pour weirdsound
Bobby Hecksher Levitation 2019 photo benoit pour weirdsound

W : Comment se passe la composition et l’écriture ?

TW Bobby Hecksher: J’écris tout, musique paroles… Je n’aime pas trop aborder ce sujet car ça fait un peu égomaniaque alors que ça n’est pas le cas. Moi je fais un croquis en noir et blanc, et le reste du groupe apporte les couleurs. Je viens avec les idées, et les paroles. Je ne me sens pas spécialement talentueux en tant qu’être humain, mais je pense avoir de bonnes idées parfois.

TW John Christian : Tu es bourré de talent mec !

TW Bobby Hecksher : Je ne suis pas un excellent guitariste, je ne pourrais pas faire un solo, je suis meilleur à la basse…

W : Pensez-vous que votre perception/approche de la musique a évolué depuis votre premier album ?

TW Bobby Hecksher : Quand une mélodie me vient, j’écoute la petite voix. Quand elle me dit de rentrer chez moi, je le fais pour coucher par écrit mon idée. Ça peut venir en un claquement de doigts ! Mais quand tu vieillis, bizarrement, cela arrive de moins en moins. Donc quand la petite voix me parle, j’essaie de bien bien l’écouter ! Le processus de création est une chose étrange… Tu peux aussi te prendre la tête sans que rien ne vienne. Donc j’attends la petite voix. Et si elle ne vient plus, elle ne vient plus…

TW John Christian Rees : Pour ma part, chaque prochain album est mon prochain album favori. Mon approche de jeu et d’expression a évolué à chaque album, en essayant de faire mieux, en enregistrement, et en performance live. En évoluant, je perds quelque chose, et je gagne quelque chose. C’est difficile à expliquer, mais je ne peux pas jouer comme je jouais, et au prochain disque je ne jouerai pas comme je joue maintenant. C’est ça l’évolution pour moi, il n’y a pas de retour en arrière possible.

TW Bobby Hecksher : John Christian est un genre de Picasso évolutif de l’audio côté guitare… Quant à Earl, son truc est plus autour de la soul. A mon avis, il est focus sur comment produire le meilleur son soul. Chacun a un don que j’essaie vraiment de faire ressortir. Pour moi, DiPino est un roc à la basse, et moi en tant que chanteur, j’ai méchamment besoin de lui ; c’est un roc, solide, ultra solide. Et c’est bon pour moi ! Quant à Plucky…(George Serrano Jason Anchodo, batteur dit »Plucky », ndlr)…Eh bien Plucky c’est Plucky! Il a un timing incroyable ! Je remercie les membres du groupe parce que j’ai plein de faiblesses ; notamment mon timing qui est très mauvais. J’ai besoin d’être dans le tempo, au bon moment. Quand je l’ai vu jouer pour la première fois, il était avec The Brian Jonestown Massacre. Je le regardais et je me suis dit : »Bor… de m… ! Ce mec est un put… de métronome ! » Je le regardais, espérant qu’il foire ne serait-ce qu’un petit truc à un moment, mais non, ça n’est jamais arrivé de la soirée ! Le gars était solide ! Il a aussi une excellente mémoire pour les chansons ; une écoute et c’est bon, il l’a. Voilà, c’est ce genre de choses que j’essaie de faire ressortir.

The Warlocks 20 sept 2019 Levitation photo benoit pour weirdsound
The Warlocks 20 sept 2019 Levitation photo benoit pour weirdsound

Trump et Boris Johnson….

W : Dernière question…plus politique! Fin Août, j’ai vu Patti Smith en concert évoquer le fucking President, puis Deerhunter commencer leur concert avec les excuses de Bradford Cox eu égard au comportement et aux propos de votre président. Comment réagissez-vous aujourd’hui face à la stupidité de ce président notamment aveugle quant à l’apocalypse climatique qui se prépare ?

TW John Christian : F… Donald Trump !

TW Christopher DiPino : Ce n’est qu’un gosse auquel on a donné le pouvoir.

TW Earl V Miller : C’est très embarrassant pour nous en fait… Il n’a aucune éducation, ne respecte rien.

TW John Christian : C’est un p… d’enfant gâté qui a utilisé les p… de réseaux sociaux pour entrer dans la partie, alors qu’il ne devrait pas être dans la p… de politique. On ne peut pas croire que ce type dirige le pays !

TW Earl V Miller : Et vous les gars ? Vous kiffez Trump ? (Rires)

W : Pas vraiment!…

TW John Christian : Vous savez quoi ? On vit une période fascinante en réalité!…

TW Earl V Miller : La seule chose positive à propos de Trump, c’est que chacun peut se rendre compte de ce qui peut arriver, si justement on ne prend pas garde !

TW Jason Anchondo : On pourrait continuer sur le sujet pendant des heures! Mais hey ! Vous savez quoi ? Les British ont ce p… de Boris Johnson ! (Rires) Ils ont déconné complet eux aussi au moins autant que nous avec leur Brexit, et ils l’ont fait avant que nous n’ayons ce p… de Trump !!!

Après cette dernière séquence plus politique, nous quittons le groupe. Merci à Eyobro pour le travail de reprise/traduction jamais facile lorsque, parfois, 4 ou 5 personnes s’expriment quasiment en même temps!

A Paris en juillet 2017, extrait du 1er album Rise and fall (2001)… hommage à Nico!

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